L’industrie de la mode est une des plus polluantes au monde, elle génère des milliards de tonnes de déchets textiles chaque année. En France, en 2021, la filière qui les prend en charge a collecté 244 500 tonnes* de textiles usagés. La mode épuise les ressources naturelles, pèse sur les émissions de gaz à effet de serre… Pour produire un simple tee-shirt en coton, il faut 700 litres d’eau douce (ce que boit une personne en 2,5 ans !). Heureusement, les consommateurs sont de plus en plus attentifs à la réduction de leur empreinte carbone et regardent de près les conditions de production des vêtements qu’on leur propose. Résultat ? La seconde main gagne du terrain !
Les vêtements de seconde main ne sont pas seulement responsables, ils sont aussi uniques et originaux. En parcourant les rayons de seconde main, on découvre des trésors et des pièces vintages qui permettent d’affirmer son style, de se démarquer. L’achat de vêtements de seconde main encourage une approche de la mode plus durable, en mettant l’accent sur la qualité plutôt que sur la quantité.
En plus de ses avantages environnementaux, l’achat de vêtements de seconde main peut également avoir un impact social positif. Les ventes de vêtements de seconde main soutiennent l’emploi, permettent de réinvestir dans les communautés locales et de promouvoir le commerce équitable.
Les vêtements de seconde main vont bien au-delà de la simple tendance, ils constituent une véritable solution pour réduire l’impact de l’industrie textile sur la planète.
La prochaine vente en partenariat avec Ohmyfrip ! se tiendra les 15 et 16 juin au BiO’Pôle de Léa : réservez un créneau dans votre agenda !
*Source ecologie.gouv.fr